Le MoDem aux Cantonales de Poissy Sud

Le dépot de candidatures est clos.

Certains candidats sont déjà connus :
– Yannick TASSET d’Orgeval pour l’UMP
– Eliane MARCHAL d’Orgeval, Divers Droite
– Karl OLIVE de Poissy sans étiquette
– Christophe BELLENGE de Poissy, Nouveau Centre
– Krémo ALLAOUCHICHE de Poissy, représentera le pseudo-parti de Jean ARTHUIS : Rassembler les centristes
– Anne-Marie VINAY 1ère adjointe de Poissy pour le PS

Et le MoDem dans tout ça ?

Le MoDem soutient Eliane MARCHAL, c’est même plus qu’un soutient puisque la figure locale du MoDem Richard BERTRAND sera son suppléant.

De plus Eliane reçoit le soutient de Debout La République, parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN.

J’entends déjà les rumeurs : « Le MoDem déçu par la gauche vire à droite ». Déjà, le MoDem -puisqu’il faut le répéter- n’est ni à gauche, ni à droite, j’ai même parfois envie de dire : ni au centre. Il est bien au delà de tout ça.

D’autre-part, il se trouve qu’à aucun moment, le PS n’a souhaité ouvrir le dialogue avec le MoDem sur ce thème. Eliane porte des valeurs qui sont les notre en matière de gestion locale. L’affaire est réglée.

Accident de moto : Appel à témoins

Un accident à eu lieu sur l’A13 impliquant un motard aujourd’hui dans le coma.

Article relatant les faits :

Le Parisien du 25  Avril 2009
Hier, aux alentours de 15h30, un motard a été grièvement blessé dans un accident sur l’A13 à hauteur de la commune de CHAPET. Il aurait été percuté par une camionnette, dans le sens PARIS province. Le motard a alors été projeté sur les voies opposées, dans le sens province paris, tandis que l’utilitaire percutait deux autres voitures et qu’un quatrième était accidenté par les débris. Au total, l’accident a fait un blessé grave, le motard, et quatre blessés légers. L’arrivée des secours a nécessité la fermeture de trois voies de circulation dans le sens province paris ne laissant que la bande d’arrêt d’urgence ouverte aux véhicules et occasionnant plus de 8 Kms de bouchon. Dans le sens inverse, les voies centrale et de gauche étaient neutralisées ; quant aux perturbations, elles se sont étendues sur près de 20 km. La circulation est progressivement revenue à la normale à partir de 17h30.

APPEL A TEMOINS

Son frère a appelé : pas de témoin. La camionnette était chargé de six moteurs, poids estimé à 2 tonnes donc surcharge qui aurait provoqué l’éclatement d’un pneu.

Si vous avez, vous ou des connaissances qui ont assisté à l’accident, des informations, contactez moi, je  transmettrais :mail

Intercommunalité : Ph. Esnol ne veut pas présider

Le maire de Conflans a démenti dans le Courrier des Yvelines du 29 avril, vouloir prendre la présidence de l’intercommunalité, mais la laisserait à Poissy. Au final ces réflexions ne semblent pas très démocratiques.

« Je n’ai pas vocation à cumuler les mandats et assumer un troisième mandat… » dit-il dans une interview au journal. A partir de combien on considère qu’il y a cumul ?

PoissyMoDem réclame un referendum sur l’intercommunalité

Le MoDem est pour une intercommunalité choisie.

Nous l’annoncions déjà durant la campagne des municipales, seulement voilà, les choses s’accélèrent et de nouveau les élus MoDem du Conseil Municipal sont mis à l’écart. En fait, de là à penser qu’aucun Conseiller Municipal n’a été consulté, il n’y a qu’un pas que je me refuse de franchir sans informations. 

Surprennant, en lisant le Courrier des Yvelines du 22 avril, j’apprends que Conflans veut entrer dans une intercommunalité, Philippe Esnol dit l’envisager. Là où on s’attend à les voire (enfin) rejoindre la communauté des Deux Rives de la Seine, Philippe Esnol a convaincu des maires de gauche de s’associer à lui, y compris celui de Poissy !

Depuis quand une coopération intercommunale doit être un regroupement de maires du même bord politique ? Surtout qu’ils auraient déjà conclus entre eux que Conflans présiderait cette structure !

Bel exemple de démocratie.

J’affirme qu’aujourd’hui les conseillers municipaux n’ont pas été consultés. Plus précisément, lorsque le sujet d’intercommunalité a été abordé lors d’une réunion du groupe majoritaire, la seule décision prise était d’attendre afin d’avoir des informations sur les différentes structures existantes, les différents types d’établissement que nous pourrions créer. A aucun moment il n’y été question d’étudier un rapprochement politique entre copains gauchistes.

Une intercommunalité doit être pensée.

Elle doit être pensée dans un esprit de cohérence territoriale, d’efficacité en termes d’aménagement,  elle doit favoriser le développement économique local.  Il faut s’entraider avec les communes avoisinante afin d’apporter notre soutient et nos structures aux communes plus petites.

Il n’y a aucun intérêt  à s’associer a une ville de même taille et possédant les même structures que Poissy.

Poissy doit au contraire profiter ce tremplin que pourrait être un EPCI afin de s’affirmer face aux communes de taille similaire qui nous asphyxierons si nous ne réagissons pas.

Poissy doit être leader de cet intercommunalité et apporter son soutient auprès de villes plus petites comme Villennes, Orgeval, Achères, Chambourcy, Carrières. Sauf erreur de ma part, rien n’empêche une commune de sortir d’une structure pour en intégrer une autre aujourd’hui.

Avant de s’associer entre potes, il faut avant tout penser aux administrés.

C’est pour cela que nous demandons à consulter les pisciacais afin de savoir s’ils veulent une intercommunalité politique ou une intercommunalité utile.

Cantonales partielles : c’est parti !

Alors que les dates viennent d’être annoncées (les 17 et 24 mai 2009) la course aux candidatures est lancée.

Gilles FORRAY a démissionné de son poste de Conseiller Général, le poste de Poissy-Sud est donc a pourvoir. Les candidatures seront closes jeudi soir.  On sait qu’il y aura un candidat UMP, au moins un candidat sans étiquette, probablement un candidat Nouveau Centre, mais rien ne filtre au PS.

J’ai le sentiment que le PS craint quelque chose. Mais quoi ? Un rapport avec la fusion MoDem-PS ? Certainement pas, en quoi cela gènerait-il ? Il est évident qu’a chaque élection, les deux partis présenteront des candidats, c’est normal. Le MoDem a des idées à défendre a cette échelle (encore locale), j’ose espérer que le PS en a aussi.

A moins que…

Sarkozy nous leurre avec son insécurité

Nicolas Sarkozy veut passer à la vitesse supérieure, c’est ce qu’il a affirmé le 21 avril dernier à Nice.

Le roi de l’éolienne.

Désormais il faudra appréhender toute personne se promenant avec une cagoule. Personnelement, cela m’étonnerait fortement qu’un délinquant d’humeur belliqueuse se promène encagoulé. Et pourquoi pas avec une banderole « dès qu’on arrive au bout de la rue, on saccage tout » ! Cette annonce est farfelue car il cette loi serait, une nouvelle fois, inapplicable.

Il me semble avoir entendu qu’il propose de condamner à 5 ans de prison l’appartenance à une bande. Etonnant, il s’agirait là d’un assouplissement alors : il existe déjà une loi condamnant à 3 ans toute association de malfaiteurs.

La liste pourrait être longue. Pour moi notre Président brasse de l’air. Il va même à l’encontre de l’éco-citoyenneté : il consomme de l’énergie pour faire du vent.

Une analyse simpliste pourrait nous amener à penser qu’il ne s’agit que d’une manœuvre électorale. Et c’est le cas! Comment le (vrai) patron de l’UMP compte t-il mener campagne pour les européennes ? Ont-ils réellement les capacités à comprendre et faire évoluer l’Europe à l’UMP ? Je crois bien que non. Alors ils font comme ils ont l’habitude de faire : du vent en faisant peur.

Je vous invite à lire les 12 propositions du MoDem pour l’Europe. Derrière ces propositions il y a vraiment du travail de réflexion.

Nous proposons un procureur européen avec autorité sur les polices et les autorités de poursuite de chacun de nos pays.

Quand l’élu se fait voler ses roues

   C’est inhérent à la vie d’homme politique, qu’on associe à homme public de nos jours, que de retrouver sa vie privée dans les journaux. Certes on ne me cite pas, mais un élu habitant rue Adrienne Bolland à Poissy, il n’y en a pas beaucoup. Courrier des Yvelines du 22 avril 2009Mais pas de soucis pour moi, la preuve : j’en parle ici.

 

Quid des informateurs ?

Dans l’édition du Courrier des Yvelines du 22 avril on peut donc lire un encart précisant qu’un élu se fait voler ses roues. Il est même écrit « Il peut s’agir d’une commande ». A titre d’information je réponds : Non, impossible !

Comment le véhicule aurait-il pu être repéré ? Je l’avais acheté la veille au soir.

 

Le fond du problème.

Reprenons, des individus se baladent dans une rue résidentielle, voient une proie et s’arrêtent pour la dépecer. Il ne peut pas s’agir d’une commande comme expliqué précédemment. Maintenant il me vient une question : Est-il possible que ce soit la malchance qui amène des voleurs au fond d’une impasse dans un quartier lui-même impasse moins de 12 heures après l’arrivée d’une nouvelle voiture ?

En faisant le tour des habitations on s’aperçoit que le nombre de dégradations, petits vols est particulièrement élevé pour le nombre d’habitations.

 

Les langues se délient.

On commence a entendre de plus en plus de témoignages pour des délits mineurs non signalés auxquels il faut bien sur ajouter les vols importants, les cambriolages et les voitures brulées, tout ça pour une petite zone de 91 maisons au bout du monde de Poissy dans un quartier tranquille… trop tranquille.

Vol de roues… la suite

Après avoir subit les voleurs, je subi les escrocs.

L’expert chipote, comme je m’y attendais il trouve que la voiture ne vaut pas assez chère pour avoir l’honneur d’avoir de nouvelles roues. Et puis m…. qu’il aille se faire voir lui aussi. Hors de question de laisser 400 euros de franchise à l’assureur (qui rime avec voleur). J’ai trouvé de jolies roues avec de bons pneus pour 200 euros.

Reste plus qu’a remonter, ça fera un peu kéké-mobile mais tant-pis !

Dégradation de véhicule : belle mentalité !

A l’heure où tout le monde est frappé par la crise, au moment où on a vraiment besoin de travailler plus pour espérer gagner plus, c’est dans ces moments là que des voyous choisissent de vous casser les pattes.

Les pattes, les roues plutôt.
Samedi après-midi je rentre du Val-de-Marne avec une petite voiture négocié pas cher pour que ma femme puisse reprendre le travail et pouvant transporter nos deux enfants.
Dimanche matin au réveil j’ai la désagréable aventure de constater en ouvrant mes volets que notre voiture a été vandalisée. Les 4 roues volées, les disques de freins reposant directement sur le sol.

Réparation Supérieur à la Valeur.
Seulement voilà, après avoir fait faire un devis, le cout de remplacement des roues s’avère supérieur à la valeur du véhicule. L’assurance bottera surement en touche comme a son habitude, et nous malgré l’investissement de départ, toujours sans véhicule. Wait & see.

Le malheur des uns…
La mésaventure fait sourire néanmoins. Nombreux sont ceux qui ricanent lorsque l’élu à la sécurité se fait cambrioler ou vandaliser. A ceux-là je réponds clairement qu’un élu n’est pas intouchable où avec de super pouvoirs, il n’est pas au dessus des lois, il est dans la galère comme tout le monde. Il subit notre société, sous toutes ses formes et cela pour quoi ? Pour qui ?

Ah si j’avais su!
Evidement, on me reparle de vidéo-protection. Certes, si j’avais criblé les abords de ma maison avec des caméras, la scène aurait été filmée. Et puis ? Une surveillance vidéo n’a d’intérêt que si elle est correctement étudiée. Dans mon cas par exemple, l’intérêt aurait été de reconstituer le trajet et ainsi de retrouver les témoins et réduire le champ des recherches.
Installer 3 caméras pour faire joli ne sert à rien, l’installation doit être réfléchie, soignée afin d’être utile et surtout amortissable. Poissy ne c’est pas construite en un jour.

J’espère quand même permettre à ma femme de reprendre une activité professionnelle avant que l’étude sur la vidéo pisciacaise ne soit rendue.

crédits photos : les203.free.fr et telesurveillance.e-trade.fr

Villepin tend la main à Bayrou

 

crédit photos Le Figaro

Dominique de Villepin a affirmé avoir «un certain nombre de convictions communes» avec François Bayrou

L’ancien premier ministre a indiqué lundi qu’il verrait avec « beaucoup de plaisir » le président du MoDem.

Ils ne se sont pas vus depuis deux ans. Mais cela ne les empêche pas de dialoguer par médias interposés. Lundi, Dominique de Villepin a affirmé sur Canal + avoir «un certain nombre de convictions communes» avec François Bayrou. L’ancien premier ministre de Jacques Chirac a encore indiqué qu’il verrait avec «beaucoup de plaisir» le président du MoDem, farouche opposant au chef de l’État.

«Je franchis une étape, parce que je pense que nous avons besoin de solutions et que nous avons besoin aussi d’afficher des principes clairs», a déclaré Villepin, soulignant que dans les réformes «l’exigence de justice sociale» doit «conditionner le reste».

Samedi, dans un entretien au journal Le Monde, Bayrou ne disait pas autre chose. «Je n’ai pas eu de contact avec Dominique de Villepin depuis deux ans. Mais je parlerai volontiers avec lui. Le jour où l’on voudra construire une politique différente en France, il faudra qu’acceptent de travailler ensemble des courants républicains différents, démocrates, socialistes, gaullistes», avait-il dit.

«Modèle républicain français»

Joint lundi par Le Figaro, il s’est réjoui de la réponse de Villepin. «Je parle souvent avec des responsables du PS, il n’y a donc rien de plus normal que je discute avec des gaullistes», confie-t-il. Dans son entourage, on rappelle d’ailleurs que, déjà, un proche de Villepin, l’ancien ministre François Goulard, avait soutenu Bayrou à la présidentielle de 2007. Le leader centriste a d’ailleurs récemment rendu visite à Jacques Chirac.

Pour Bayrou, «il n’y a rien d’étonnant que des gaullistes disent que ça ne va pas !» Selon lui, «ce qui est en cause aujourd’hui, avec la politique de Nicolas Sarkozy, dépasse de beaucoup les choix partisans et les étiquettes. Les gens s’en rendent compte. Ce qui rend les responsables politiques dans l’obligation de mener un combat, non pas partisan, mais républicain.»

«Dans les temps de crise où nous sommes, il est important de lancer des ponts entre tous les républicains», a estimé la numéro deux du MoDem, Marielle de Sarnez, qui tenait lundi soir à Asnières devant quelque 400 militants sa première réunion publique dans le cadre des européennes. Selon elle, «quand les yeux vont s’ouvrir, un certain nombre de républicains de gauche, comme de droite, vont se rendre compte que Nicolas Sarkozy ne cesse de remettre en cause le modèle français. Il l’a redit la semaine dernière : son modèle, ce n’est pas l’égalité des chances ! Nous, nous pensons le contraire».

Pour l’heure, aucun rendez-vous entre François Bayrou et Dominique de Villepin n’a été fixé.